Avec la montée de l’internet des objets, tout sera connecté. Le fait que cette évolution ne fait que commencer est démontré par l’observation des mégadonnées (Big Data) selon laquelle 90 % des données disponibles ont vu le jour au cours des deux dernières années. Avec les systèmes intégrés, la technologie de la communication et l’informatique, les signaux et les données sont utilisés dans une application de l’IdO. Les données ont de ce fait acquis une grande valeur économique, mais il faut toutefois pouvoir leur faire confiance.
La sécurité commence par la protection du matériel et des logiciels de l’appareil connecté lui-même. Les préoccupations à propos de l’authenticité des logiciels et la protection de la propriété intellectuelle ont accéléré diverses techniques de vérification et d’essai des logiciels.
La sécurité de l’IdO est une approche à plusieurs niveaux, mais n’a rien de révolutionnaire. Les passerelles IdO sécurisées s’attaquent au risque d’insécurité des données. L’utilisation de la plate-forme sécurisée de gestion multilocataires conçue par un fabricant de passerelles réduit le risque de fuites de données et vous aide à transférer vos données dans le cloud en toute sécurité. La présentation de John Boudewijns (Lantronix, pour Acal BFi) vous offre la possibilité de le faire.
Le programme se termine par une séance plénière où la question centrale est : « Qui a besoin de la sécurité de l’IdO ? ». Marc Witteman, de Riscure, démontre que la réponse est évidente : tout le monde. Que se passerait-il si le système tombe en panne à cause d’une attaque externe ? Au cours de la présentation, les risques sont abordés, mais aussi les manières de les réduire.
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